Rue St-Denis, après le grand incendie.
Voici une vue de la rue Saint-Denis en direction sud, après l’incendie.
Bibliothèque et Archives du Canada
John Molson sur les lieux de sa brasserie, après l'incendie.

Le brasseur et homme d’affaire John Molson et son épouse, sur les lieux de la brasserie et de la distillerie familiales, qui furent rasées lors de la seconde phase de l’incendie.

Bibliothèque et Archives du Canada
Étendue des désastres de l'incendie.
Étendue du désastre du grand incendie de 1852 dans les faubourgs Saint-Laurent et Québec. (En rouge, le ravage du premier incendie et en bleu, du second incendie.)
Collection Jean-François Courtemanche
Emplacement du début du premier incendie.
Emplacement du début du premier incendie, rue Sainte-Catherine, près de St-Dominique.
Bibliothèque et Archives du Québec
Rue St-Denis, après le grand incendie.
John Molson sur les lieux de sa brasserie, après l'incendie.
Étendue des désastres de l'incendie.
Emplacement du début du premier incendie.

Le 8 juillet 1852, en pleine canicule, un premier incendie éclate sur la rue Sainte-Catherine, près de la rue Saint-Dominique. Le manque d'eau et la force des vents provoquent une véritable catastrophe. Le feu s’étend du boulevard Saint-Laurent jusqu’à la rue Saint-Hubert et au nord de la rue Maisonneuve jusqu’à la rue de la Gauchetière.

Et ce n’est pas terminé. Durant la soirée, un deuxième incendie éclate, plus au sud. Débutant près des rues Bonsecours et Notre-Dame, les flammes s’attaquèrent à tous les bâtiments au sud de la rue de la Gauchetière et vers l’est jusqu’à un peu passé l’avenue Papineau. Après 24 heures, 1112 immeubles ont été rasés, soit le cinquième de la ville.